Au départ du port d’Anvers, des containers remplis de grumes de chênes, hêtres, frênes, peupliers,… partent vers les ports asiatiques.

D’un niveau écologique et économique se n’est pas logique. Nos propres arbres abattus chez nous partent chez eux, sont transformés et reviennent en partie chez nous. C’est une aberration !

Les portes containers partant d’Anvers doivent être lestés, afin de ne pas chavirer et afin de ne pas retourner à vide en Asie. Suite à la fin du covid, la demande en bois des asiatiques reprend. La demande est forte et les prix montent (vice-versa).

Nos propres scieries rurales ne savent pas rivaliser avec les prix que les scieries asiatiques pratiquent. Nos scieries sont-elles trop petites, plus assez modernes, plus assez rentables ? Sont-elles condamnés à disparaître ? Le prix de la main d’oeuvre n’est évidement pas la même et pénalise nos scieries européens.

C’est la demande en bois de l’Asie qui fixe quasiment les prix de vente de nos propres bois à l’heure actuelle ‘La Mondialisation ».